Paperasse inintéressante : Je me nomme Imke Catherine Altmann – pour vous autres, sous doués, n’essayez même pas de prononcer mon premier prénom et contenez-vous du deuxième, voire de Cathy si je vous autorise l’usage de ce diminutif   et je suis née en Allemagne, le 16 Décembre 1989. Je vis à Boulder depuis près de dix-huit ans maintenant et suis actuellement chimiste et responsable de la pharmacie à l’hôpital et je dois cela à mon génie, donc nul besoin de vous offusquer lorsque j’étale mon savoir, il faut bien que vous compreniez que là où vous jouez encore dans le bac à sable, j’affronte les meilleurs, alors, un conseil, abandonnez. Après tout, il n’y a nulle honte à se retirer d’un jeu lorsqu’on ne trouve pas son intérêt. Statut social et orientation sexuelle :L’amour… Je l’aime en tragédie, dans les romans élaborés des grands écrivains, ou au cinéma, dans les grands classiques, mais très peu pour moi. Les hommes parfaits n’existent pas et je ne me contente de rien de moins que du meilleur, alors je passe mon tour. Mais si un jour, je tombe amoureuse, ce sera de quelqu’un qui sera pour moi un défi – et par un coup d’ironie, je le relèverai et obtiendrai cet homme, avant de me prendre à mon propre jeu et de me retrouver dans ses bras. Parce qu’au travail comme en amour, je ne fais jamais les choses à moitié.
Trois raisons de me détester :
Narcissique.
J’ai réussi dans la vie, vous ne pouvez que m’envier. Vous autres, vos médisances, votre méchanceté, rien ne m’atteint, vous ne pouvez donc que me haïr.
Arrogante.
Ambitieuse de nature, je suis capable de tout pour atteindre mon but ; de ma bouche s’écoule un venin rare et mortel.
Profiteuse.
Je manipule à mon grès les âmes les plus naïves, les cajoles et les choie, en prend tout ce dont j’ai besoin et les jette sans le moindre scrupule. Le truc qui fait qu'on craque pour moi : Si je dis tout, ça ferait un peu trop, non ? Eh bien, certains diront mon intelligence, d’autres opteront pour mon physique et, pour ma part, je pense juste que je suis une très bonne parleuse, que je manie les mots de sorte à ce qu’on ne puisse que m’aimer – du moins, lorsque je veux me faire aimer. Le pourquoi du comment je suis barjo : Le choix du groupe s’est fait naturellement, car nul autre ne correspondait à mon caractère, à ma manière d’être. J’aimais beaucoup quelques passages de l’histoire qui évoquaient la magie. Et puis, étant donné que je crois avec ardeur que l’esprit de Cathy cohabite avec le mien, il est plus qu’évident que ce groupe me sied à merveille.
Ce que les uns nomment folie, je préfère y coller le nom d’excentrisme ; et ce que les nomment bizarrerie, je préfère dire que c’est de l’originalité.
Et puis, dans ce groupe, on nous prend tous pour des fous à lier ; ainsi, on masque notre véritable folie. Tout est question de camouflage, au final. Ma plus grande peur : Ma plus grande peur, celle que je cache aux yeux de tous est sans nul doute la perte de contrôle. Je détesterai faire face à une situation que je ne contrôle pas, paniquer et faire n’importe quoi. I know you love me : Post Vacant. Crédits : Google est ton ami !

Imagine que le dieu du Sushi apparaisse tout à coup devant toi et t'ordonne de quitter ton groupe sous peine d'être transformé en california maki aux crevettes. Dans quel autre groupe de la ville t'intègrerais-tu le mieux et pourquoi ? Pff, il se prend pour qui ce Sushi géant d’abord pour m’ordonner de quitter mon groupe ! Et puis, j’adore les california maki aux crevettes, donc je préfère changer de groupe, j’aimerai pouvoir les déguster, pas être mangée !
Bon, plus sérieusement, je pense que je me dirigerai vers les T&G parce que la personnalité des gens en faisant partie me convient parfaitement et que je n’aurai nul mal à m’adapter : que ce soit leur sens de l’humour un peu trop sombre, leur cynisme habituel, leur fâcheuse habitude de manipuler les âmes les plus naïves pour atteindre leurs divers objectifs – je me reconnais parfaitement dans cette description, qui plus est. À vrai dire, si je ne me pensais pas liée à la sorcière Catherine Deshayes et si je n’avais donc pas besoin d’une couverture pour cacher ce que beaucoup nomment folie – non pas que leurs avis compte, mais ça pourrait fermer des portes de ma vie tel que mon travail, or, je ne le tolérerai pas – ce sont les T&G que j’aurai choisis, surtout que ses membres sont individualistes, qu’ils restent en dehors des conflits enfantins des autres et qu’ils ne se considèrent pas même comme un groupe.
La dernière fois que tu ne t'es pas rappelé de ta soirée, c'était quand ? Le lendemain, un proche t'a envoyé les photos... alors, que s'est-il passé ce soir là ? Je ne suis pas du genre fêtard, mais il m’arrive de participer à quelques soirées. Habituellement, je ne bois jamais plus de deux verres car je ne tiens pas très bien l’alcool, mais ce soir-là, en bonne compagnie, j’ai accepté de me laisser aller et d’en faire un peu trop. Mais je n’aurai peut-être pas dû, car à mon réveil, le lendemain, dans un lit désert que je ne connaissais pas, je ne me souvenais plus de rien. Un mot était posé sur la table de nuit, avec un numéro et un prénom, mais je l’ai froissé et suis rentrée hâtivement chez moi.
Finalement, j’ai fini par ne plus trop penser à cet incident, mais mon téléphone vibre. Je viens de recevoir un mail et, quand je l’ouvre, les photos que j’y voie me font piquer du nez. Je me vois au bras d’un beau brun qui a réellement l’air charmant mais dont ses mains se font trop baladeuses à mon goût. Je déteste ça ! Habituellement, je mène la danse et là, je me vois ivre, réduite au statut d’une vulgaire poupée entre ses mains. Et le pire est que cet idiot n’a pas pensé aux gens autour – qui sait, l’un de mes employés était peut-être là – et n’a pas hésité à réduire à néant ma crédibilité, sa bouche brutalement collée à la mienne alors que ses mains n’hésitaient pas à relever ma robe.
J’hésite longuement avant de cliquer sur la dernière image et je nous voir prendre la sortie de secoue, ma robe bustier négligemment rabaissée, mes bretelles de soutien-gorge tombant.
Et tandis que je rédige ma réponse en menaçant gentiment mon ami – je le fais pour la forme, au fond, je sais bien qu’il n’osera rien divulguer de cette soirée.
Une chose est sûre, je ne prendrai plus jamais plus de deux verres à moins d’être en compagnie de Nathaniel.
Mes lecteurs veulent en savoir plus sur toi ! Raconte-moi un peu ce qu'est ta vie aujourd'hui. Comment était ton enfance ? Quelles sont tes envies d'avenir ?...
J’ai passé six ans de ma vie dans la peau d’une jeune-fille modèle faisant partie de l’aristocratie Allemande, couverte de cadeaux en tout genre, étreinte d’amour et de passion, élevée dans les règles de l’art. Peut-être même que mes parents m’aurait présentée à un jeune-homme quelques années plus tard, mais nous n’en étions pas là et je doute que j’aurai laissé faire cela. J’aimais beaucoup les deux personnes m’ayant tout offert dans ce monde – la vie, l’amour, la quiétude – mais je n’étais pas toujours d’accord avec eux ; plutôt conservateurs, je m’évertuais à ne pas trop étaler mon coté rebelle et passais le plus clair de mon temps dans ma chambre, à lire divers ouvrages sur les poisons, passant des descriptions à la manière de les concevoir. J’avais une bonne mémoire, retenais rapidement, mais ne savait absolument pas de quoi il s’agissait quand on parlait de Sodium ou de particules chimiques.
Nous nous sommes finalement déplacés au Colorado et j’ai d’abord désapprouvé ce choix car ne parlant pas un mot anglais. Pourtant, rapidement, je me suis habituée à la nouvelle ambiance, à ce style de vie qui me convenait d’avantage et qui me permettait d’être plus moi-même. Le plus agaçant a été de devoir utiliser mon deuxième prénom vu la difficulté du plus grand nombre à prononcer Imke, mais je m’y suis habituée, trouvant le diminutif Cathy plutôt sympa.
Quant à Nathaniel, mon frère (demi-frère, certes, mais je le présente comme étant mon frère car il compte assez pour moi pour que je sois capable du pire), il avait onze ans quand il a été adopté par ma famille. Et c’est donc à ses cotés que j’ai grandi jusqu’à devenir une femme au caractère bien trempé, sachant parfaitement ce qu’elle désiré, ayant enfin atteint l’un de ses objectifs : être la meilleure dans son domaine. C’est vers mes dix-huit ans que j’ai découvert l’existence de feu Catherine et c’est à partir de cette époque que je me considère comme étant, quelque part, disciple de son esprit qui erre encore, près du mien, lui offrant toute la lumière dont il a besoin. À part tresser les syllabes pour enchanter les oreilles et retirer le superflus de mon corps pour obtenir des hommes ce que je désiré, je passe le plus clair de mon temps à en apprendre plus sur les poisons, à concocter quelques étranges plans pour m’amuser avec l’espère humaine, si naïve et si vile. Quant à mes projets d’avenir… Ce serait me surpasser, faire de mon mieux et bien plus encore et puis, peut-être commencer à penser à être heureux à deux ? Parce que le bonheur, c’est bien beau, même quand on le partage avec son frère adoré, mais ce n’est pas la même chose que si on le partage avec notre  « âme-sœur ».
 Je vais d’ailleurs vous faire part d’un petit secret, mais ne le répétez surtout pas, d’accord ? Je vous fais confiance ! Je suis une grande gourmande, mon fruit préféré est la fraise – enrobée de chocolat, miam ! – et je suis une fan inconditionnelle de gâteaux au chocolat avec de la cannelle et un bon verre d’Orangina givrée. D’ailleurs, vous m’excuserez, mais je vais, de ce pas, aller épargner la famine à mon corps.

Tu dois immédiatement inscrire ton avatar au bottin pour éviter de te le faire piquer (ce serait dommage !). Voilà, c'est tout pour le moment... A toi la belle vie !