Paperasse inintéressante : Dravinsky, Olivia, 24 ans, 22 avril 1991 à Boulder, Hôtesse d'accueil à l'hôtel Boulderado, Tu es connue de cette ville jusqu'à tes douze ans mais tu es parti bouleversée de cette ville pour revenir depuis quelque temps. Tu es Taureau, c'est très important de le savoir car dès que tu vois rouge tu montres tes cornes. Juste pour le dire au BAC, tu as la mention Très Bien, tu en es fière mais tu ne veux pas le dire de peur qu'on sache que c'était toi la binoclarde mais tu l'as affiché sur le frigo de tes parents. Dernière chose à savoir tu détestes le surnom Olive... Car cela te rappelle seulement qu'une olive c'est rond et c'était un des surnoms préférés pour montrer tes rondeurs... Même s'il n'existe aucune plus trace, tu préfères qu'on t'appelle par ton prénom Statut social et orientation sexuelle :Tu es célibataire et cela te va plutôt bien comme cela. Même si beaucoup d'hommes aimeraient t'avoir pour femme pour ton physique, tu ne veux pas d'engagement. Tu aimes le fait de pouvoir séduire alors tu préfères rester célibataire et ouverte à toute proposition. Trois raisons de me détester :Beauté, Lunatique et Rancunière. Tu es jalousée par tes belles courbes mais très vite dépité par tes humeurs changeantes et ta mémoire pour te rappeler des moindres erreurs des autres. Le truc qui fait qu'on craque pour moi : Bavarde, Mystérieuse et Nouvelle. Tu aimes beaucoup parler mais tu dis tellement peu de chose sur toi que forcément tu deviens intéressante à déchiffrer puis comme tu es nouvelle c'est encore plus intriguant. Le pourquoi du comment je suis barjo : Tu as rejoint ce groupe grâce à ta cousine. C'est elle qui t'a fait connaître ses personnes-là, puis il te correspondait plutôt bien. Tu aimais bien faire la fête. Puis tu étais une fumeuse. Tu avais besoin de ta dose nicotine pour décompresser. Tu connaissais un peu toutes les drogues pour l'avoir testé pendant ton adolescence mais tu n'en dépendais pas non plus. Mais tu ne refusais jamais devant un petit joint. Puis tu aimais l'ambiance que dégageait le groupe, personne te jugeait tu pouvais t'amuser. Tu étais peut-être un peu veille mais après tout il n'y avait pas d'âge pour s'amuser. Tu appréciais leurs mentalités et tu as été très vite intégrée. En partie grâce à Sixteen. Tu t'y sens chez toi tout simplement.Ma plus grande peur : Tu as peur d'être reconnue. Tu dois jouer un rôle tous les jours et c'est assez usant pour toi de faire semblant de ne pas connaître cette ville, ses recoins... De jouer la petite nouvelle car si on te reconnaît, tes plans de vengeance risque être compromis alors tu fais tout pour tenir ce rôle en restant sur tes gardes.I know you love me : Poste Vacants Crédits : écrire ici les pseudos des créateurs dont tu as utilisé les gifs ou images pour cette fiche.

   

Tu te regardais à travers ce miroir et rien de bon se reflétait. Tu te trouvais horrible avec ce gras qui te collait à la peau, ses lunettes rondes démodées, ses larmes qui ne cessaient de dégouliner de tes joues rougies par cette tristesse. Tu voyais un monstre de graisse, une fille qui n'arrivait à crier. Pourtant tu pourrais tous les écraser avec ton poids mais à croire que ton courage se limitait pas à ton poids. Tu en avais marre de ses remarques, de ses moqueries... Tu ne pouvais plus vraiment le supporter. Tu n'avais ni envie de sortir, ni de rester devant ce reflet. Tu ne savais pas quoi faire. Tu n'avais pas vraiment d'amies à qui parler. Tu étais faible et il s'en servait seulement. Bien sûr tu devais te la fermer sinon ils te tombaient dessus. Ils t'avaient mis des idées dans la tête comme quoi tu étais une ratée. Tu commençais à le penser sérieusement. Tu pensais que le véritable problème c'était toi-même. Tu étais ton pire ennemi, tu le savais mais tu ne réagissais toujours pas. Tes parents étaient impuissants face à la situation. Mais ce jour-là était différent des autres. Tu étais face à ce miroir et une lueur différente commençait à se dégageait de toi. Tu pleurais toutes les larmes de ton corps mais tu étais en train de faire une promesse silencieuse avec ce miroir. Tu allais changer car c'était la solution. Tu voulais vraiment changer de cette personne qui était face à toi. Alors ton poing partir dans ce miroir. Tu brisas ce reflet. Tu voulais marquer le point de destruction pour un nouveau départ. Tu frappais de toutes tes forces. Du sang dégoulinait de ta main mais la douleur ne s'emparait pas de toi. Non, la douleur morale était bien plus forte ce jour-là. Tu le cassas en mille morceaux. Tu te souvenais très vite qu'après tout s'enchaîna très vite. Ta mère qui arriva dans la chambre et qui fut horrifiée par ce qu'elle voyait. Elle ne te comprenait pas, elle savait mais n'avait pas encore réagi. Elle te voyait réellement comme tu étais. Elle avait compris à ton regard que cette fois c'était la goutte d'eau de trop de ce vase rempli. Elle avait très bien vu à ton allure de tes vêtements déchires. De l'écriture sur le front qu'elle apercevait : LA GROSSE. Elle te prit dans ses bras. C'était l'instinct maternel d'après toi. Elle te promit de t'emmener loin de tout cela et qu'elle allait prendre ta santé en considération. Ton père arriva par la suite. Tu te souvenais de cette façon dont il avait serré la mâchoire. De sa colère que tu lisais dans ses yeux. Tu allais quitter Boulder. Tu avais vécu douze ans de ta vie. Mais ses douze années c'était les plus horribles pour toi. La différence, le surpoids, la jeunesse... Ils ne t'avaient pas épargné. Tout cela parce que tu étais différente et au lieu de t'aider, il t'avait enfoncé. Tu te promis que tu retournerais dans cette ville, tu te fis la promesse et surtout que tu serais méconnaissable !

   

   

Ta transformation n'a pas été chose facile. Nouvelle vie, un régime alimentaire, des activités sportives... Bref tu avais eu droit à un coach sportif rien que pour toi. Tu avais droit même à une styliste pour t'aider dans tes vêtements. Tes parents n'étaient pas pauvres ni très riches, mais ils ont tout fait pour tu te sentes bien dans ta peau. Le but était que tu t'acceptes tellement comme tu étais. Les premières semaines avaient très difficile pour toi. La nourriture avait été source de compensation de ta solitude et de ta tristesse. Mais tu avais tout jeté toi-même. Tu t'es faite violence pour résister aux douces saveurs sucrées des gâteaux ou alors plats goûteux que ta mère t'avait préparé. Mais elle aussi fit un effort, elle apprit à cuisiner des plats aussi bons mais surtout équilibrés. Le coach sportif ne t'avait pas épargné. À douze ans tu devais perdre au moins une vingtaine de kilos. Tu avais droit à des équipements rien que pour toi, le regard des autres t'effrayaient encore. Mais heureusement pour toi tu avais eu toujours le soutien d'une seule personne : ta cousine. Elle avait assisté à ta métamorphose de A à Z. Même si tu ne le voyais plus comme avant car elle était loin maintenant. Nouvelle vie, un régime alimentaire, des activités sportives... Puis son sourire était si contagieux. Elle te soutenait dans ton idée. Tu te sentais fur et à mesure mieux et elle en était partie responsable. Mais tu n'avais aucun miroir chez toi, tu ne voulais pas te regarder tant que la balance n'atteignait pas le poids que tu t'es fixée. Les jours avancèrent et tes parents admiraient ta détermination. Ils ont été aussi d'un grand soutien pour toi. Puis la période de l'adolescence fut assez brutale. Ton corps changeait et évoluait. Tu devenais plus souriante, plus agréable à regarder. Tu étais de meilleure humeur. Puis personne ne te jugeait réellement alors cela t'aidait beaucoup. Tu apprenais bien l'art du maquillage et des talons. Tu voulais apprendre à marcher avec pour que cela puisse être ta paire de pantoufles et savoir comment utiliser le maquillage à ton avantage. Bien sûr tu ne voulais pas non plus un pot de peinture sur ton visage. Mais tu prenais soin de toi. Tu allais souvent chez la manucure ou esthéticienne. Tu appris à bien t'habiller sans être vulgaire. Ta styliste avait été une grande aide pour toi. Savoir quels vêtements était pour ta morphologie. Puis lors de ta majorité tu étais devenue une fille bien pétillante. Une fille qui savait jouer de ses charmes pour faire tomber les mecs à tes pieds. Tu aimais te pavaner et faire les boutiques. Tu n'étais pas non plus superficielle, tu décrochas ton BAC avec mention très bien mais tu n'avais pas non plus de faire de grandes études. Tout était apparence. Puis quand tu fus prête, tu te revis dans un miroir. Tu avais opté pour une couleur de cheveux originaux qui t'allait plutôt bien, une tenue de tous les jours et un maquillage. Tu te regardais dans le miroir en admirant la belle inconnue que tu voyais dans ce reflet. Tu en avais limite les larmes aux yeux en te voyant. Tu te trouvais vraiment belle et pleine d'assurance. Bien sûr tu avais ton caractère et tu n'avais surtout rien oublié de tout ce que tu avais subi pour en arriver là. Tu étais heureuse. La première partie de ton plan était faite. La deuxième allait commençait...

   

   

Tu étais de retour dans cette ville. Ta cousine a été la première à t'accueillir. Tu l'avais serré fort dans tes bras. Tu étais heureuse de pouvoir être de nouveau ici. Tu lui avais expliqué ton point tordu. Elle t'avait soutenu dans ton idée. Elle aurait pu te trouver folle mais elle te comprenait. Elle savait à quel point c'était important pour toi. Puis maintenant c'était mieux d'être ton allié que ton ennemi. Tu étais ici pour te venger. Seul savait qui tu étais. Elle te fait passer des après-midi à te faire découvrir la ville comme si tu ne la connaissais pas. Mais après toutes ces années, la ville n'a pas vraiment changé. Tu te mettais dans le rôle de la petite nouvelle charmante. Tu souriais aux personnes qui ne te reconnaissaient pas. Tu t'es vite intégrée à son groupe. Elle te fait passer des après-midi à te faire découvrir la ville comme si tu ne la connaissais pas. Te réveiller aller bosser alors que tu avais un mal de crâne horrible. Après tout ta jeunesse avait été bafouée alors maintenant tu t'amusais. Tu croquais la vie à pleines dents et tu t'amusais. Sans pour autant oublier ton véritable but. Tu espérais seulement que ta cousine n'allait pas te trahir. Elle était si bavarde mais elle pourrait louper un mot de trop sans le vouloir. Tu l'aimais mais tu faisais quand même attention. Tu étais très prudente. Elle te mit au courant des dernières nouveautés de la ville très vite. Tu étais très complice et fusionnelle avec elle. Toutes ces années à ne la voir que derrière un écran, tu aimais pouvoir discuter, faire des soirées à parler de tout et de rien. Elle ne te jugeait pas, et cela, tu appréciais. C'était un peu la sœur que tu n'avais jamais eue. Elle était ta petite taupe à toi. Puis c'était l'une des raisons que tes parents t'ont laissé partir. Entre les mains de ta cousine, ils étaient assez rassurés. Tu avais donc une alliée pour ce lourd secret que tu portes. C'était un peu la sœur que tu n'avais jamais eue. Tu étais donc ici dans cette ville. Tu étais retournée dans cette école où tout avait commencé. Tu te sentais bien dans cette allure. Tu n'étais plus la grosse tache mais plutôt une personne qui faisait partie du décor. Ton but était de retrouver quelques-uns de tes camarades pour pouvoir assouvir ta vengeance. Tu étais vraiment très rancunière. Tes yeux se sont posés d'abord sur le beau Ethan. Tu l'avais vite assez reconnu et grâce à ta cousine, tu avais pu avoir certaines informations. Tu étais allée à sa rencontre sans qu'il le sache. Tu avais joué la petite nouvelle perdue et il avait marché tout droit dans le panneau. Il t'avait sorti son sourire le plus ravageur et tu lui avais rendu la pareille. Sauf que bon derrière ce sourire, tu cachais vraiment ton dégoût pour lui. Il avait été ton bourreau. Tu te souvenais de chaque moquerie, de chaque insulte... Tu en avais vraiment beaucoup souffert. Il t'avait inspiré de la peur à l'époque. Tu avais tremblé devant lui. Tu t'en souvenais encore, le souvenir était ancré. Tous les jours à l'école, tu avais dû raser les murs pour ne pas le croiser, pour l'éviter. Tu n'avais pas envie qu'il te martyrise encore. Il t'avait dit comme quoi jamais un homme poserait les yeux sur toi. Tu étais laide et tu resterais laide. Rien que d'y penser cela pouvait te mettre dans une rage folle...Tu avais envie de faire comme les jeux vidéos le tuer un million de fois sur plusieurs formes. Mais ici on était dans la vraie vie puis tu étais dit que la mort cela serait trop doux pour lui. Tu lui réservais bien pire. Puis le fait de voir qu'il bavait dès que ton corps bougeait cela te faisait bien rire. Il ne t'avait pas reconnu bien sûr. Il avait été si naïf à ton charme. Tu étais juste une source d'énigmes pour lui. Tu jouais à ce petit jeu avec lui. Tu répondais à ses sourires. Ce jour-là tu avais bu un verre avec lui et il t'avait servi de guide. Quand il s'était retourné tu avais dû te faire violence pour ne pas cracher dans son verre. Mais bon, tu le ferais craquer. Tu voulais qu'il soit à tes pieds et tu voulais le faire souffrir. Tu voulais qu'il pleure pour toi. Tu t'amusais parfois à laisser ses messages en suspens. Tu aimais bien te faire désirer c'était encore plus drôle. Pour l'instinct c'était un jeu et c'était toi le chat et lui la souris. Tu étais dans tes jours où tu avais envie de faire du shopping. Tu avais donc pensé fortement à Sixteen. Cette fille... Quelle bavarde. Quand tu es arrivée dans le groupe, tu ne pensais pas que ta première amie cela serait la fille de l'ambassadeur. Tu avais apprécié cette amitié si soudaine. Pas pour le lien amical, les amis tu n'en avais vraiment pas. Enfin les vrai. Ceux sur lesquels tu comptes sur tes petits cinq doigts de la main. Non c'était une amie juste par pur intérêt. Premièrement, c'était la fille de l'ambassadeur, deuxièmement c'était la fille de l'ambassadeur, troi... Enfin vous l'avez compris. Tu t'es dit qu'elle pourrait toujours te servir un jour ou l'autre pour ton plan. C'était mieux de l'avoir dans tes filets après tout. Tu pouvais te servir d'elle pour te faire une bonne réputation déjà. Du genre, la fille plus déjantée de la fille qui faut absolument avoir à ses soirées. Cela n'est pas pour rien de l'avoir comme ami ni de l'inviter à tes grandes soirées ou alors de te promener avec elle pour te montrer justement avec elle. Mais aussi tu pouvais lui soutirais des informations et ça mais alors ça tu en jouissais presque. C'était ton bouche-trou serviable quoi. Mais le pire c'est qu'elle tellement naïve pour toi qu'elle n'avait rien vu venir. Alors bien sûr tu sortis avec elle, bien sûr tu sortais ton plus grand sourire, bien sûr tu faisais des photos avec elle, bien sûr tu l’appelais comme ta besta ou tu ne sais quoi d'autres. Tu avais pris goût à ce petit jeu. Puis elle n'était vraiment pas méchante. Elle était même plutôt sympa. Tu t'amusais bien avec elle. Tu ne voulais pas non plus trop l'admettre car tu ne voulais pas t'attacher. Tu avais tellement été déçu en amitié que tu préférais ne pas y penser. Tu te disais que c'était un bon bouche-trou et puis c'est tout. Aujourd'hui tu étais de très très mauvaise humeur. Comme à ton habitude au lieu de regarder l'application météo sur ton téléphone, tu avais tout simplement regardé le beau météorologiste Ezechiel. D'habitude, il ne se trompait pas. Tu avais un rendez-vous galant et tu voulais mettre la tenue adéquate. Donc monsieur météo avait prévu beau soleil alors tu avais enfilé une jolie robe de joie avec une paire de talons. Tu n'avais pas pris de vestes et tu avais laissé tes cheveux détachés. Tu étais sortie mais le ciel te faisait un peu peur. Mais tu te disais que de toute manière la météo avait annoncé beau temps alors cela serait beau temps. Sauf que bon l'erreur est évidemment humaine parce qu'il s'était lourdement trompé. Ta robe avait rétréci à vive allure et même si le mec avait apprécié la vue que tu dégageais pour toi cela avait été la honte. Ton maquillage dégoulinait, tes cheveux reprenaient leurs droits naturels, tu étais en colère contre cet abruti. Tu avais donc écourté ton rendez-vous et tu te promis que si un jour tu le croisais dans la rue tu lui exprimerais bien ta façon de penser. Puis quand la chance te souriait, c'est ce qui arriva. Tu avais débarqué comme une furie de nulle part sans qu'il s'y attende. Tu t'es servi de ton poing pour lui donner son bras mais comme tu n'étais pas très douée sur ce point-là, tu te fis plus mal qu'autre chose. Mais bon tu ne te laissas pas démonter par la douleur de ta main. Tu l'avais insulté un peu de tous les noms et tu lui avais crié dessus. Comme quoi c'était un pur menteur, qu'il a eu son diplôme de météo dans une pochette-surprise ou alors qu'il devait aussi s'acheter des lunettes qu'à cause de lui, ta robe de soie était fichu ainsi le rendez-vous. Tu avais été ridicule et cela ne t'avait pas plu. Alors qu'il devrait changer de métier car c'était un abruti. Puis qu'il te devait bien sûr un rendez-vous galant évidemment. Sur ces douces paroles, tu allais prendre le chemin mais tu fis retenu aussi tôt par sa main sans comprendre. « Demain, 19h30, au jardin de Daisy-Yard Square ». Au début tu avais cru à une petite plaisanterie, mais tu ne rêvais pas. Il se proposait lui-même un rendez-vous. Un sourire en coin s'était affiché sur tes lèvres. Tes traits s'étaient adoucis comme si ton humeur s'était envolée dès qu'il avait touché ta main. Tu lui avais simplement répondu. « Sois à l'heure et ne te trompe pas dans la météo. » Tu avais accompagné cette phrase avec un clin d’œil et tu avais repris ta vie tranquille. Du moins c'est ce que tu croyais...

Tu dois immédiatement inscrire ton avatar au bottin pour éviter de te le faire piquer (ce serait dommage !). Si ton personnage est un PV ou un Scenario, tu dois aussi l'inscrire ici. Voilà, c'est tout pour le moment... A toi la belle vie !